Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1897.djvu/189

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Donc, y z’ont fini leurs ballades
Les faux pauvr’s sortis d’ rich’s beuglants :
Ben et moi, l’ chanteur ambulant,
Y m’ont mis dans la marmelade !

Y a pus moyen d’ gagner deux sous.
Après leurs admirab’s tournées
Mâtin ! y n’en f’saient des jornées
Tous les soirs, y d’vaient rentrer saouls !