Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1897.djvu/199

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D’ess’traordinaires nourritures
Pendant qu’ Bibi s’ grattait les flancs !
 
Gn’avait qu’ des gibiers, des ventrées !
D’ la bonn’ vinass’, pas d’ la bibine
Oh ! bon guieu d’ bois la bonn’ cuisine
Qu’aurait mieux fait dans ma cassine
Et les canapés d’ bécassines
Ou j’aurais ben amé m’ vautrer.
 
Enfin après l’apothéose
Relisons un peu leurs discours
Qui s’ils z’avaient l’ mérit’ d’êt’ courts
Signifiaient pas toujours grand chose
 
– Je bois – Tu bois – À toi – Z’à moi
 
L’Armé’ française et la Marine
Vous salu’nt ainsi qu’ la Tzarine