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- (N’est-c’ pas, y pouvaient pas s’ douter,
- de tout c’ qu’a m’avait fait souffrir.)
- Et je suis parti en pleurant,
- et j’ai compris c’ que j’ venais d’ faire.
- J’ me disais tout en v’nant ici.
- — « Pauvre Julien, pauvre Julien...
- Sais-tu qu’ tu viens d’ faire un beau coup !
- ça peut s’appeler d’ la belle ouvrage...
- tu viens d’esquinter tes amours.
- « À présent ta vie est foutue,
- c’est l’ dur, la crève ou la misère ;
- quand tu t’y mets tu travaill’s bien,
- Pauvre Julien, pauvre Julien !