Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/75

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Mais surtout, Môm’, t’ as d’ bell’s grand’s mires
qu’ont l’air d’éclairer tout Paris ;
ô Môm’..., je sais pas comment dire...,
quand qu’ tu tiens leurs beaux cils levés,
ça fait penser aux marguerites
qui vous regardent dans les prés.


Oh ! voui pour sûr qu’ t’ es pus pareille
et qu’ t’es d’venue eun’ rich’ goss’line
qui sent l’amour et la santé ;
n’avec ton costum’ de « Claudine »,
n’avec ton p’tit blair effronté
qui t’ donne un air de t’ foutr’ du monde,
ta têt’ nue..., tes bell’s boucles blondes,
tu fais scandal’, tu fais soleil !