Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/89

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Les Monte-en-l’air
(L’Apprenti)


— « Vas-y Julot, vas-y vieux frère,
faut m’ mett’ dedans c’te lourde-là ;
la carouble a peut pas y faire,
on va n’être encor chocolat !


Magn’-toi magn’-toi, prends l’ suc de pomme,
yà nib de pant’s dans le log’teau,
y vienn’nt de call’ter en auto
avec les lardons et la bonne.


Quand qu’y rentiff’ront, minc’ de blair !
Beuh !... c’est kif-kif, el’ mêm’ méquier ;
gn’en a les z’uns qu’il est banquiers
et les aut’s qu’il est monte-en-l’air.