Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/96

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Salaud ! Y tourne des mirettes !
Ah ! on m’y r’prendra eune aut’ fois
à voyager comme eun’ galette
avec un garçon qu’ a les foies !


Bon Dieu ! Y en a du trêpe en bas.
Cassez la lourde, allez, cassez !
Quiens, l’ Môm’ Nu-Patt’s il est coincé,
mais Sézig y l’ont h’encor pas.


Voui, tas d’ truff’s, app’lez les pompiers ;
j’ n’ai ni I’ vertigo ni la trouille,
moi j’ grimpe ou j’ dévale eun’ gargouille,
six étag’s, blavin dans les pieds !


J’ suis bon, j’ m’envole..., arr’moir’ Julotte !
t’t’ à l’heure au quart, d’main à la Tour,
tâch’ de n’ pas m’ donner au Gerbier
ou ben j’ t’arr’trouv’rai un d’ ces jours...


t’ entends coquine, emmanché, fiotte,
hé, Apprenti ! Hé, gât’-métier !