Page:Riversdale - Échos et reflets, 1903.djvu/52

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Aux bosquets d’ombre et de sommeil
Où l’été verse le silence.
Le désir te cueille le soir,
Pour parer le sein de l’amante,
Gretchen éclairant le miroir
Du pli de sa lèvre charmante.
Ô suavité d’un moment,
Penche ta corolle pâlie
Avant de mourir doucement
Dans ta mauve mélancolie…