Page:Rivière - Recueil de contes populaires de la Kabylie du Djurdjura, 1882.djvu/118

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vais." Si Moh’ammcd bondit à terre: «Hors d'ici, juif de pêcheur.» La femme ne le prit plus entre ses bras. Si Moh’ammed lui dit: «Qu’as-tu donc? est-ce parce que j’ai appelé ton mari juif de pêcheur? Avant que tu vinsses ici, la pêche était son métier.» Celui-ci l’entendit: «C’est vrai, dit-il, lorsque j’étais petit, je m’amusais à pêcher avec mon père." Un autre jour, Si Moh’ammed tomba malade de nouveau, et mourut; les deux époux le déposèrent dans une caisse garnie de soie et le gardèrent Bientôt ils ouvrirent la caisse; comme il sentait mauvais, ils le jetèrent. Mon histoire est finie, mes ressources ne le sont pas.