Page:Rivière - Recueil de contes populaires de la Kabylie du Djurdjura, 1882.djvu/156

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les pieds de derrière, et fais bien sortir les clous.» Il revint au logis; il appela le chacal et lui montra ses pattes: «Regarde ce qui est écrit sur ce tableau.» — «Cette écriture est difficile à déchiffrer, répondit le chacal, je ne comprends pas, car je n’y connais que trois mots: outini, ouzatini, ouaz akin.» Il appela le lion et lui dit: «Moi, je ne puis pas comprendre cette lettre, je n’y connais que trois mots: outini, ouzatini, ouaz akin.» — "Montre-la-moi,» fit le lion. Il s’approcha, le mulet le frappa aux yeux et l’étendit raide. Celui qui va avec un fourbe, en est trahi.