Page:Rivière - Recueil de contes populaires de la Kabylie du Djurdjura, 1882.djvu/190

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Viens, mon petit, viens, viens.» Il ne vint pas. Quand il rentra à sa maison, les siens lui demandèrent s’il avait vendu le bœuf: «Oui, leur dit-il, j’ai échangé avec un Agaoua, il a emporté un rouge, moi j’ai apporté un rouge, j’arrive à la rivière, le mien tombe dans l’eau qui l’entraîne, je l’appelle, il n’a pas voulu revenir.» La femme du Djennad courut chez sa voisine et lui dit: "Mon mari est fou.»