Page:Robert - Les Ondins, tome II.djvu/111

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où il se reposa quelque tems.

Non loin de là étoit un mont, dont le sommet affreux vomissoit des tourbillons de flammes & de fumée, & où la Terre reluisoit d’une croûte jaunâtre ; ligne indubitable du soufre que formoient ses entrailles. Au dessus de ce mont, étoit la seconde porte, gardée par des Cavaliers de feu. Lorsque le Chevalier eut pris un moment de repos, il les combattit, & eut l’avantage de les écarter & de passer la seconde porte ; un Géant défendoit la troisieme, mais il lui coupa les deux jambes d’un seul revers. Cette victoire lui coûta peu : il marcha ensuite vers la quatrieme où étoit un