Page:Rocca de Vergalo - La Poëtique nouvelle, 1880.djvu/80

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Quand Dieu le veut, grêle il y a.

Jean Richepin. Le Vieux. (La Chanson des Gueux).

Je suis un vieux né en Flandre.

J. Richepin. Le Fou. (La Chanson des Gueux).

Mais à l’amant qui assiège.

J. Richepin. (loco citato)

Et fuit onmitouflé dans sa ouate de brume.

J. Richepin. Idylle. (Loco citato).

0, î, 6. tirez-nous, la, ut, la, de nos tombes !

Emile Goudeau. Les Affranchies. (Fleurs de Bitume).

Il est allé partout : en Seine, en Se’me-et-Oise. E. Goudeau. Cueillette sur l’asphalte. (Fleurs du Bitume).

Des efforts qu’il faudrait pour aller jusqu’att oui. E. Goudeau. Pourquoi je ne t’épouse pas. (Fleurs du Bitume).

Mais derrière la toile il n’y a pas de femme. Emile Goudeau. L’envers du modèle. (Fleurs du Bitume).

Mes larmes tombent une à une.

Emile Goudeau. Chanson à Nini. (Flenrs du Bitume).

Et tout de suite voir ce qu’il y a dedans.

Emile Goudeau. Réveil. (Fleurs du Bitumé).

Peu à peu pourtant elle chante. J. Richepin. Variations d’automne. (La Chanson des Gueux).

Ma gaieté, tu as la colique.

J. Richepin. Nos tristesses. Loco citato.

Un peu cafè-au-\a\t derrière chaque oreille.

J. Richepin. Mon Petit Toutou. Loco citato.