Page:Rodenbach - La Mer élégante, 1881.djvu/92

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Toute à la volupté que donne la vitesse,
Joyeuse, elle s’enfuit sans subir la tristesse
De la mer qui recule et du soir approchant ;

Et ce groupe tout noir — comme en bronze — qui bouge
Et frissonne au milieu des splendeurs du couchant,
Semble un crêpe de deuil au drapeau du ciel rouge !