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ANTOINETTE

elle vit ce qui était, elle courut chez un médecin du voisinage. Mais lorsque le médecin arriva, il ne put que constater que c’était fini. La mort avait été immédiate, — heureusement pour Mme Jeannin, — bien qu’on ne pût savoir ce qu’elle avait eu encore le temps de penser, dans ses dernières secondes, en se voyant mourir, et en laissant ses enfants, seuls, dans une telle misère.