Page:Rolland - L’Âme enchantée, tome 4.djvu/65

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Annette le regardait s’éloigner, à grands pas. Elle guettait ses yeux. Mais il ne se retourna pas. Il disparut. Annette se retrouva seule dans le train presque vide, immobile, sans bruit. Et sa lèvre brûlait. Et elle léchait le sang…