Page:Rolland - La Révolte des machines.djvu/77

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Et l’on voit, soudain, se projeter dans l’or du ciel couchant les ombres formidables de Machines beaucoup plus monstrueuses encore que les précédentes, les rêves de l’Inventeur, qui pétrifient d’admiration Aviette et Rominet…

(Le chant de flûte s’est interrompu brusquement, au milieu de la phrase. On entend un tonnerre lointain, et le grondement d’airain de teufs-teufs géants.)

Le cycle terminé recommence…