Page:Rollinat - Dans les brandes (Charpentier, 1883).djvu/61

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Il est estropié
Par les coups qu’il attrape,
À toute heure épié,
Il est estropié.
De la tête et du pied
C’est à qui d’eux le frappe.
Il est estropié
Par les coups qu’il attrape.

Quand ils sont altérés
Ils vont boire à la Creuse.
Ils s’échappent des prés
Quand ils sont altérés.
Oh ! les doux effarés
Sur la côte pierreuse !
Quand ils sont altérés,
Ils vont boire à la Creuse.