Page:Rosenthal - La Peinture romantique, 1900.djvu/72

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« hasard remarquable avait fait naître sur la terre médiévale d'Espagne[1], » Goya, par son génie fantastique, désordonné, troublé et puissant, véritable auxiliaire des peintres anglais, sans exercer une influence comparable à la leur, devait, à certaines heures, impressionner un Eugène Delacroix[2].

  1. Richard Muther, Geschichte der Malerei, in XIXem Iahrhundert, II, 55.
  2. Journal, 7 avril 1824; lettre du 24 janvier 1832; Champfleury, Les Vignettes Romantiques, p. 290; Paul Lefort, dans la Gazette des Beaux-Arts, 1808.