Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/15

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— 15 — M. l'abbé Casgrain a un don naturel fui le pousse à écrire, comme l'oiseau à chanter. . Et, si lîen me dit qu’il n’a pas seulement l’instinct, mais aussi les aue.i de l'oiseau, «je ne conteste pas. -#pe- menticili <me sernhle que; cer nejsonl pa» 'des àiie&ft'aiglê,' k moins que l’on ne sou- tienne qu’il a.les giles mais non les yeux de teetdiseàu^oyat\tV\v:-v\ ii© premier ouvrage de M, l!abbé Ças- grain a révélé cette, double faculté de sa muse de. chanter et de voltiger, Les Légendes sont un chant, asseï monotone d'ailleurs, --rquoique répété avecgrand ae - comqpagnement de y ariatious^-et une vol¬ tige alerte, exécutée sur; une seule corde. L'apparition de ce livre n'a pas causé touti'âfet que l’auteur attendait, quoi¬ qu'il fût bien calculé pour cela. Car, c’est là une des faiblesses de notre excel¬ lent abbé: il n'a p^s la vertu de renpnce- mentah succès.lg Au contraire, il adore le succès et il m’oublie rien d§ ce qui peutqricondüire. Iliconnait rà, fond tou- des leuficéltes qui peuvent ^r^r^îiiffiqr un auteur pardèlesénj^^\tmet\tmt\tjpur vàw^uvTétÛNMMfe.a ’ f*0* iVV/r- ïua iatfv