Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/20

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— 20 — J;ï • ne contiennent absolument rien de blas¬ phématoire. Ce qui n’empêche pas notre • ,\t' • . , 1 •\t•\t-\tA\t. J -J ‘<v);V écrivain d’ajouter :\t», “ Et le.monstre, en vomissant ces blas¬ phémés) ÿpQùssé', des' ricanements^ ; d’éfc,, bles î Et pourvu qu’ils nous disent d’aussi beaux vers, je leur pardonnerai d’être lahtômes—ulcères—cadavris— spectres et de secouvrir d’une ptau voUainerinc. Je prends ces phrases au hasard, et je pourrais- en citer d’autres dans'cette même Fantaisie,, où la folle du logis se prômène, V\t.\tJ VI\tLf avec beaiicoup trop de liberté. -.'![! T :\t•'\tI*\t;\t: ]■\t,:)\t/; fF’v.i, •\t.\t• il. On dirait que l’écrivain redoute la fa¬ deur et qu’il la confond avec la simpli¬ cité et le naturel de l’expression. Or, ces mots ne sont pas du tout synonimes. Il arrive même, quelquefois, que le -style fleuri ;estj tre« ;<iÉjde.r .\hk, Scüdéri çn: a, donné bien des preuves et j’en pourrais, montrer d’autres dans; les Légendes, j) a style fleuri qu^n affectionne,. ongUsse si «J*\tEn nt>HM9>rêl&#§ ]£/ml«Wb- Aii J*'\tlit*# vif' }