Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/38

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- 8è — 'y î 44 encore dans les voûtes silencieuses, ^longtemps les derniers échos des chants 44 sacrés se prolongent à travers lés arca* 44 des aériennes' et les Ojgiyes^ et se ber- S-\tcent^parm les ombles' ’u soir.” i * On hadméttra sans peine q de lè stylé historique ne doit !pîas s’affubler de sem¬ blables r banderolles. \ ; C’est décri rei d’ono manière i singulièrement com iliquée ce qui se passe f dans l’âme de la Mère de FIncarnâtion, et les. mystérieux'Concerts qu’on y entend ont: le tort g^ave die res¬ sembler aux incantations de la Joftglèusc.

0n y reconnàit* encore la douce l mélodie

caux'. suaves ondulations,, se prolongeant, non plus en spirales aériennes jyparmllc silence solennü de la- nuit, mais à travers les arcades aériennes r parmi les ombres du $(w:.i Kfiorsiv aCh %.h‘.ïon*>:» 7 nurivl. \s Il y:a, malheureusement, un bon nom¬ bre de pages* dans ce style.: L Introduc

Mon, surtout, en ;ést presque entièrement

composée, i L’idée mère de Y Introduction était très .belle. C’était de réprésenter la société naissante, en Canada, dans sa tri¬ ple hiérarchie du prêtre, de la femme et. du soldat-colon. Dix pages de belle prose auraient suffi au développement précis dé cette idée et auraient pu être un; Nor¬ dique superbe du temple qu’il voulait élè- f ■' "ff "■ rj'F'C',\tf. .\t; t\ l ' * t