Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/40

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0 f: — 40 — •£Aüli.•"J-'l'l .A UVtWi J: 1- C• i X i 'i jV du même genre nous exhibe pour fefctt una^spècé 4ébric-ài-brac littéraire, > fi’ést uhe\t.causes-■’âè crai ^ypldfpe^\toeu:vrés. Qqi iî/lü une do ces'^ipk^DHi^s? connaît '•^^ÇWPvioIiid'sii'i iir.oy.ji : *Krxrruiçd ;- < Il donne presque toujoiirs a ses: he^os remarqua- ||Oaà\t-2: ^léCXÛt tQU jpttçs ayeÇopiMï^ëAos^." circonstances les f:Pt>W 4<*i< iU.no maison n’est pas une maison, mais un château, pue* pé tijte * lisière de tçrre de vient, sous sa plümëj une seigneqrie ; la mordre tapisserie lui parait ornée {de- ne.petite promenade dansr quelque vieux wagon* attelé ‘âë^^elqpe^lviepx rcKeya-i hlaijc, il ypus :mC rè^éç^er^^r^cètfe phrase: ;‘A$pmme ^yrimpin^is^-une “ blanche haqucnée conduisait le carçsre u antique, orné des armoieries de la fa