Page:Ruskin - Præterita, souvenirs de jeunesse.djvu/398

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laissant inachevé ce document précieux pour tous ceux qui ont senti et compris le charme de cet esprit à la fois si ingénieux, si vaste et si original, Ruskin était bien près de fermer les yeux aux splendeurs des arts et de la nature qu’il avait tant aimés.