Celui qui emporte de l’or ne le trouve jamais lourd. Et toi, bienfaisant Porcus, tu es aux autres hommes ce que l’or est aux métaux ordinaires,
Tu parles noblement, ô Fluctus. Et je te prie de me pardonner les coups de ce matin. Car je t’aime et le falerne seul est coupable.
Ceux qui aiment Jésus de Nazareth s’aiment entre eux. Nous qui aimons le divin Porcus, aimons-nous pour l’amour de Porcus.
Ô chose indigne !
Souvent les esclaves rendent ridicules, rien qu’à les répéter, les paroles des maîtres ; et les gestes les plus nobles deviennent grotesques si on les regarde dans l’ombre qu’ils font.
Ainsi je pèserai moins.
Tu es la bonté même, ô mon bien-aimé.
Porcus songe à tout. Porcus est à mes yeux une lumière éblouissante et son intelligence pénètre à la fois les choses importantes et les moindres détails, comme le soleil de midi