Page:Ségalas - Les Algériennes, 1831.djvu/53

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le Champ de Bataille.

 
On n’entend plus gronder nos rapides tonnerres,
On ne voit plus briller les tranchans cimeterres,
Les flammes ni les fers ; tout finit à la fois :
Et ce bronze arrondi qui brûle et qui ravage,
Et dans un camp rival porte un sanglant message,
Ne fait plus retentir sa voix.