Page:Ségur - Diloy le chemineau, Hachette, 1895.djvu/199

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


XVII

Gertrude est charmante


On fit tellement honneur au déjeuner, que Mme d’Orvillet s’excusa en riant de n’avoir pas commandé pour quinze au lieu de huit.

« J’aurais dû prévoir l’effet du grand air et du bon air de ce pays, et compter chaque convive double.

Madame de Saintluc.

Mais nous n’avons pas déjà tant mangé, il me semble.

Madame d’Orvillet.

Parlez pour vous, Pauline ; nous autres, petits et grands, nous avons dévoré.

Le général.

Voyons, pas de calomnies et comptons nos