elle ne veut voir personne ; alors c’est très ennuyeux chez elle.
Et ses enfants ?
Mon oncle, ils sont ennuyeux aussi, parce qu’ils sont toujours avec ma tante, et ce n’est pas amusant.
Ah ! ils sont toujours avec leur mère ? Et pourquoi cela ? Est-ce qu’elle les retient près d’elle ?
Oh non ! mon oncle, au contraire, elle veut toujours qu’ils s’amusent, qu’ils sortent ; ce sont eux qui veulent rester.
Sont-ils laids, ses enfants ?
Oh non ! mon oncle ; Natacha est très jolie, mais elle est toujours si mal mise ! Ma tante est si pauvre ! Les autres sont jolis aussi.
— Ah ! ah ! » dit le général.
Et il continua sa promenade sans parler à personne. Le soir il demanda à sa nièce si, l’odeur du tabac lui serait désagréable. »
Du tout, mon oncle, au contraire ! Je l’aime tant ! Je me souviens si bien comme vous fumiez quand j’étais petite ! J’aimais tant ça à cause de vous ! »