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LES VACANCES.

sur-le-champ pour Fleurville, où M. de Traypi nous fit arriver par la ferme, de peur d’un trop


brusque saisissement pour ma pauvre mère. Il y avait dix minutes à peine que nous étions arrivés, lorsque Mme de Rosbourg rentra. J’entendis son cri de joie et celui de mon père ; j’étais heureux aussi, et je riais tout seul, lorsque Sophie se précipita dans la chambre à mon cou. Vous savez le reste. »