MANUSCRITES ET IMPRIMÉES. 375
53o r Msor. Grosbois, p. 789, depuis T Perrin •. (1734) III, 265; f (i754)
l mari » (p. 428, 5° ligne en re-
’[ montant), onlit dans le mscr.
53t < 1728, Rouen et la Haye, pour le
il n, de la lettre et joint dans ces
trois éditions à la lettre qui est
53a Mscr. Grosbois, p. 967 1° les Perrin;f (1734) m,2Ô8;f(i754)
i « application; » 2° l’alinéa qui
J commence, p. 436, par: « J’ai
r langes, l’abbé de Grignan et
1, Corbinelli » (p. 436, 2* ligne
du 2* alinéa), et le membre de
j phrase « il y a des endroits
|i plus singulier, au lieu de
r tris; » et au lien de: « Âlceste » t
533 Copie de Bussy A, I, 288. | 1697, 1, ai5. 1818, IV, 3i r.
534 1 Rouen (1726); f La Haye
« Mme de Montespan est par- Vf, 49.
tie » (p. 428, 58 ligne), jus-
qu’à « J’allai hier à Vin-
cennes » (p. 429, 4e %ne)
exclusivement. Au lieude « et
empoîsonnoit fort souvent son
« et l’einnoisonnoit fort sou-
vent, »
w fragment indiqué à la note 2
devenue notre n" £29 cette
lettre 5ag se trouve p. 59
de 1725; tome 11, p. 204 de
Rouen; et tome II, p. 124 de
la Haye. Perrin f (1734)
ni, 275; f (1754) iv, 5».
six premières lignes de l’alinéa IV, 55.
qui commence, p. 435, par »
« On est ici fort occupé de la
Brinvilliers, » jusqu’au mot
été hier à l’opéra, » et les huit
premières lignes de l’alinéa sui-
vant, jusqu’au mot « attache-
ments » 3° les quatre avant-
dernières lignes de la p. 437,
depuis « La Comtesse » jus-
qu’à a plaisant; » 4° la der-
nière phrase « Adieu, etc. »
Dans le a" fragment, le. copiste
a passé les mots « M. de Cou-
d’une extrême beauté » (5e H- -j
gne) il a écrit, au lieu de
& d’Heudicourt » {2e ligne),
« d’Hudicourt; » et, ce qui est
« Atjs » (g« et 1 1 lignes) «. At-
(14» ligne), « Alside. » A la der-,
nière phrase on lit « toute la
tendresse, » au lieu de « toute
l’extrême tendresse. »