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MANUSCRITES ET IMPRIMÉES. 377

543 Mscr. Grosbois, p. $33 le ïJemn:f (1784) HT, 3oj f (17^4) commencement de la lettre, IV, g5.

jusqu’aux mots « un bail

de vie et de santé » {p. 4G8,

t)° ligne en remontant), et la

fin de la lettre, à partir de;

« No us demeurons ici pour ache-

ver nos remèdes » (p. 4?ï*~

8e ligne) Au lieu de « c’est

une petite allonge à mon

voyage (p. 468, i3a ligne

en remontant), le copiste a

écrit « c’est une petite éloge

à mon voyage. » Le mot ici

manque après célébrée (p* 4-7 ï 1

12° ligne). Au lieu de s les

Brissac et jLongueval » (même

page, r3e ligne), on lit « les

Brissac et les Longueval; »

et au lieu de « d’Uacque ville

nie mande toujours des nou-

velles de la santé de Mlle de

Méri » (ligne suivante) on

lit « d’Hacqueville me parle

toujours de la santé de MUe de

Mérv. »

544 i Perrin {1734) III, 3i4;f (17EÏ4) I IV, 102-

545 Mscr. Grosbois, p. 937 et p. g3g Perrin t (1734) M, 319 t (i?54) i° le commencement de la let- IT, 107.

tre, jusqu’à a Dieu bénisse

chrétienté! » (p. 477, n* li-

gne en remontant) 20 Palî-

nés qui commence par: « Que

dites-vous du maréchal de

JLorges » (p. 479), et les deux

suivants. Au lieu de « Elle

cherche à se guérir de soixante

et seize ans, dont elle est fort

incommodée » (p. 476, 2e li-

gne en remontant), on lit dans

le mscr. t Elle cherche à se

guérir des soixante et seize ans

dont elle est fort incommo-

dêe. » Après la phrase qui

finit par je vous l’enver-

rois » (p. 480, 10° ligne), il

y a un etc. dans le mscr.

546 Ibidt, p. 941» moins le der- i Perrin f (1734) IH,3a6; (1754) nier petit alinéa. Au lieu de IV, 1 r<|

« Voilà donc ce qui s’ap- <

pelle la vertu et la reconnoïs-

sance » (p. 481, ïoe ligne de

la lettre), on lit a Voilà donc

ce qui s^ppelle ïa vertu et sa