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i38 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Charles de Sévigné bien qu’une première lettre soit restée sans réponse, lui écrit une seconde fois pour lui recommander son cousin Sévigné de Montmoron, XI, xxi.

1 Dreux (la petite Mme de), Catherine- Angélique Chamillart, femme de. Thomas de Dreux, fils d’un conseiller au Parlement, cousin éloigné de Philippe de Dreux, X, 441.

DROGUET, mari de Catau, femme de chambre de Mme de Grignan II, 260.

Druys ou Djelut (Mme), X, 111. Dubois, employé de la poste. Son obligeance pour Mme de Sévigné, H, 238, 245 et 246, 253, 343, 354, 370, 431, 437. Reconnaissance de Mme de Sévigné et de Mme de Grignan pour lui, II, 321 et 322. Il part pour suivre Louvois, III, 27. Mme de Sévigné dit que son nouvel ami de la poste sera plus fidèle que Dubois, TV", i5.

Dubut. Voyez BUT (du).

Duc [Monsieur ’le). Voyez Cohdé

(Henri-Jules prince de), et Enghiew (Louis duc d’).

1 Dccheswe médecin. Voyez Ghesne (du).

Duchesse {Madame la). Voyez CoNDÉ(Anne de Bavière, princesse de), et Emghien (LouiseFrançoise duchesse d’).

Duclos (Marie-Anne) actrice, XI, 272.

Duguesoluî. Voyez Ghesclin (du).

Duguet (Jacques-Joseph), de l’Oratoire, auteur de l’Institution d’an prince et de l’Ouvrage des six jours X, 488; XI, 62. Il est charmé d’une conversation de Tréville sur le quiétisme, X, a63.

Douai (la ville de), VI, 338. DOUBLET (Mlle) épouse Barrillon, X, i58.

Doocet (les deux Jean), bateleurs, V, 4s3.

Douilly (là maison de), X, 377. Elle est séparée en deux branches, X, 35g et 36o.

Douhxy, fermier général. SaintAmant a mieux marié sa fille que lui, X, 377.

DouRDAir (la ville de), VII, 384. Dracy-ie-Fort (le village de),

IX, 49.

Dragons (les) ont été d’excellents missionnaires, VII, 470, 474Leur bravoure à la bataille de Fleuras, IX, 558, 56o, 563, 578 et 574.

Dreux (Philippe de), sieur de la Judaière, maître des requêtes, vient chercher sa femme à sa sortie de prison; tendresse qu’il lui témoigne, VI, 3b’6 et 367. Couplet que Coulanges fait sur lui, VI, 393.

Dreux (Mme de), Catherine-Françoise Saintot, femme du précédent, estaccuséedansl’affaire des poisons, et est confrontée avec la Voisin, VI, 277. On pense qu’elle ne sera pas jugée trop sévèrement VI, 35S. Elle est admonestée et condamnée à une aumône de cinq cents livres; rigueur de sa prison; son mari et toute sa famille accourent pour la recevoir son désespoir, de ne pas retrouver sa mère qui est morte, VI, 366 et 367. Plusieurs juges voulaient qu’on la renvoyât sans être admonestée, VI, 368. Émotion que la nouvelle de la mort de sa mère cause à Mme de Grignan, VI, 4o3.

Dreux (N. de), le mari ou le beau-père de la suivante (?).