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i56 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

la bonne voie, IX, 346 Son fils est marié douceur et soulagement qu’elle trouve à cet établissement, IX 354) 3?5, 428. Son estime et son affection pour le chevalier de Grignan, IX, 3S4; X, 61. Éloge que fait d’elle Mme de Sévigné: plus on la connaît, plus on s’attache à elle IX, 3g3 40a. Elle est volée, peut-être par ses domestiques; trouble que cela lui cause, IX, 434. Le jeune marquis de Grignan vientla voir, IX, 44ï> 472. Le cardinal d’Estrées la fait prévenir de son arrivée il est fort son ami, IX 465 il est venu la voir, IX, 470. Son caractère liant lui a fait beaucoup d’amis de toutes conditions, qui ont été fort utiles à ses enfants, IX, 474. Elle a un vif désir de voir Mme de Sévigné revenir à Paris, IX, 54o; cependant elle l’a approuvée beaucoup d’aller en Provence, où elle sera mieux, LX, 578, 58g. Chagrin que lui cause la maladie de Mme de Lavardin, X, r5. Extrême désir qu’elle a de revoir encore Mme de Sévigné, X, Sa et 60,61. -Sa mort; éloge que Mme de Sévigné fait d’elle, X, 107-109; Depuis sa mort, la vie paraît fadeà Mme de Sévigné, et elle tient beaucoup moins à rester à Paris, X, 112, i5i. Elle n’avait songé qu’à relever le nom de la Fayette, et, par la mort de son fils, il n’est plus que sur.Ja tête de sa petite-fille part qu’elle avait prise au testament de son fils, X, 186. Mme de Coulanges et Mme de Sévigné remarquent le second anniversaire de sa mort, X, 282. Gourville,

dont elle est fort contente, IX, 8iO. Démarches qu’elle fait pour la députation de Charles de Sévigné, IX, 190, 192, 198, 204, 214, 218, 224, 241 et 242, a5o,27g; elle n’espère plus réussir, IX, 243. Elle est fort contente du mariage de son fils avec Mlle de Marillac elle lui assure tout son bien, et n’en garde que l’usufruit, IX; ao5. A l’occasion de ce mariage, Mme de Sévigné fait valoir le grand mérite de Mme de la Fayette, ses nombreux amis et l’abandon qu’elle veut faire de son bien, j IX 226. L’archevêque d’Aix, Cosiiac, tient extrêmement à ne pas paraître extravagant à ses yeux, IX, 228. Lettre toute amicale qu’elle écrit à Mme de Sévigné pour lui persuader de revenir passer l’hiver à Paris, IX, a43-245. Mme de Sévigné parle avec une vive reconnaissance de cette lettre et des offres qu’elle contient, et dit pourquoi elle ne veut pas les accepter elle envoie cette lettre à sa fille, IX, 25i et 262, 272, 289, Soi, 307. Elle avoue que c’est Mme de Chaulnes qui voulait donner les mille écus qu’on offrait de prêter à Mme de Sévigné, IX, 272 et 278. -Elle a, dans la lettre qui contenait cette offre, qualifié Mme de Sévigné de vieille; réflexions de celle-ci sur ce mot, IX, 334. Elle est un exemple que, quand on a l’esprit bien fait, certaines lectures ne sau- raient le gâter, IX, 315. Préparatifs qu’elle fait pour la noce de son fils, IX, 328. Elle tâchera, après le mariage de son fils, de se mettre dans