DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 161
gens du prince, V, 55 1. II parle de Bussy comme du meilleur de ses amis reconnaissance de Bussy envers lui il ne perdra pas l’avance qu’il a faite pour la statue de marbre duRoï, V, 556. Ce qu’il dit à propos de l’impression d’Esther, VIII, 5i7, 54a. II exalte la grandeur du génie du prince d’Orange; ce qu’il répond à Chandenier, qui préfère le rôle de Jacques II à celui de ce prince, VIII, 5ao. Allusion probable à son esprit courtisan, IX, 299. Nouvelle de sa mort, X, 5g, 66.
Feuiiaade (Charlotte Gouffîer, duchesse de la), sœur du duc de Roannès, femme du précédent, IV, 56.
FEUILLADE ( Charlotte Thérèse Phélypeaux de Châteauneuf, duchesse de la), femme de Louis d’Aubusson, duc de la Feuillade, fils des précédents. Coulanges la conduit à la comédie, à une représentation de Cinna, X, 226.
FEuiiXAKTrxiïs (les) dela rue SaintJacques. Mlle de la Trousse s’était retirée chez elles elley meurt, VII, 481. –’Mlle de Grignan s’y retire lorsqu’elle est obl igée de quitter les grandes carmélites, VII, 5a3. Mlle d’Alerac y est pour quelques jours, VIII, 5i2. Comment on y célèbre les funérailles, IX, 388.
Feuille ( la ) nom par lequel est désignée Mme de Coulanges, III, 379 et 38o et note 11.
Feoquièkes ( Isaac de Pas marquis de), VII, 161, 162.
Feuqotères (Antoine de Pas, mar- quis de ) fils du précédent auteur des Mémoires sur la guerre. Sa relation de la mort Mme DE Sévigné. xii
de Turenne, IV, 44. Il est compromis dans l’affaire des poisons; on ne trouve contre lui que des peccadilles, VI, 245 et 246. Nouvelle de son mariage avec Mlle d’Hocquincourt, X, 233.
Feuqotèbes (François de Pas de), frère du précédent. Voyez Rebekao (le comte de).
Fecjquières ( François abbé de), frère d’Isaac, vient aux Rochers, II, 35 1. Il va à Conflans avec Mme de Sévjgné, V, 89.
Fèvm (Clatide le), peintre, II, 508.
Fèvee d’Ormessgît (le). Voyez O&MESSON (d’)’.
Feydeau ( la famille de ). Sa généalogie, dont on plaisante, X, 283.
Fidèle, petit chien de Mme de Sévigné, IV, 229 et 23o, 272, 297.
Fienkes (Mme de), avant son mariage appelée Mlle de Fruges, femme de Henri Garnier, comte des Chapelles, dont elle ne porta jamais le nom, gardant celui de sa maison, 1 407 I V 5o6 et 507. Sa haine contre la maréchale de Clérombaut III, 181 et 182. Mme de Sévigné va la voir à Montargis, dont son mari est gouverneur; sa maison, son ton, son air, IV, 5o3 et 504. Allusions à son avidité, VI, 124, i33.
FrENKES (Mlle de), fille de la précédente, II, 95 et gf> IV, 504. La comtesse d’Armagnac élève avec ses enfants le fils que le chevalier de Lorraine avait eu de Mlle de Fiennes, II, 547. Comment le chevalier de Lorraine la met à l’aise avec lui, III, 4.
Fiesqce (Gillonne d’Harcourt,
