Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/208

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aoa TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comte

de Grignan.

reconnaissante de l’intérêt qu’il a pris à elle pendant sa maladie, IV, 357. Elle le remercie de lui avoir donné des nouvelles de sa fille, IV, 364. -Elle le remercie d’aimer ses lettres, IV, 419, 491 elle l’admire de les tant aimer, VI, 49; elle s’étonne qu’elles le divertissent, VI, 52 r. Elle le prie de lui amener sa fille, IV, 434 et 4î5 il ne s’y refuse point, IV, 429. II envoie une robe de chambre à Mme de Sévigné, IV, 427. Elle lui est re- connaissante des arrangements qu’il prend pour le voyage de sa femme à Paris, IV, 53 1, 55i, 553; V, 100. -Elle le remercie des bontés qu’il a eues pour le chevalier de Sévigné, son filleul, V, 4 et 5. Elle le sollicite chaudement en faveur de ce filleul, V, 308 et 3og. Elle parle de lettres qu’elle lui a écrites, V, 110, 114. -Elle est tou- jours assurée qu’il consentira au voyage de sa femme à Paris, V, 125, 137, 142, 148. Elle lui dit qu’elle ne le hait point, V, 245. Elle n’est point jalouse de l’affection qu’il a pour sa fille, V, 257 et 258. Elle voudrait pouvoir l’aller embrasser à Grignan, V, 274. Elle lui rend compte d’une consultation de Fagon sur l’état de Mme de Grignan; lui seul pourra persuader à sa femme de passer l’été et l’automne à Paris, V, 444-447- H doit y venir rejoindre Mme de Grignan pendant l’hiver, V, 467. Mme de Sévigné espère que la tendresse qu’il a pour sa femme l’empêchera de se presser de partir’et de l’emmener,

V, 532 et 533. Il consent à passer avec elle, auprès de Mme de Sévigné, une bonne partie de l’été, V, 53g. Mme de Sévigné désire qu’il se porte bien, pour l’amour de lui, mais surtout pour l’amour de sa femme, VI, 28. Elle peut, dit-elle, lui apprendre à bien aimer sa femme, VI, 49 et 5o. Il admire la perfection des sentiments de Mme de Sévigné pour sa fille, VI, 54. Elle craint d’être brouillée avec lui, VI, i85 et 186, igi. Mme de Grignan a amené la réconciliation, VI, 239. Mme de Sévigné le plaisante sur des applications qu’on leur a faites, à elle, à sa fille et à lui, de l’opéra de Praserpine, VI, 289. Il lui serait nécessaire pour l’égayer, VI, 379. Elle a reçu de lui une lettre fort honnête, VI, 396. Plaisanterie qu’elle lui adresse au sujet d’une dame de Provence, VI, 434 et 435 et au sujet d’une fermière bretonne qui est venue la voir, VI, 462 et 463. Elle souhaiterait jouir de nouveau de sa société, VI, 448. Elle veut qu’on lui dise toujours oui, quand il demande s’il est bien avec elle, VI, 466. Tant qu’il aura sa fille si loin d’elle, elle aura bien des choses à démêler avec lui, VI, 489. Elle dit en plaisantant qu’elle craint son jugement sur quelquesunes de ses opinions religieuses, VII, 3, 4, 7. Elle doute qu’il ait abandonné son ami Maillanes ses fautes ne seront jamais que contre luimême et sa famille, VII, 36. Elle veut qu’on la raccommode avec lui; elle voudrait le voir