Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/217

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 211

4oo, 404, 440, 559; V, 41, 48, 73, 104, io5, 160, 164, 186, 188, ao3, 210, 248, 282, 293, 337, 38i, 402, 4°6> 448) 46i) 46a, 482, 499, 537, 542, 54q, 563, 564; VI, a3, 68, 100, 117, 126, 127, 128, i3a, 189, 198, 210, 237, 255, 257, 309, 386, 3g3, 399, 4i3, 435, 447, 496, 5og, 5io, 5i5, 549, 56i, 562; VII, 121, i5o, 182, i54> 160, ao3, 224, 238, a47> 249, 267, 273, 279, 280, 340, 357, 358, 363, 38o, 421, 442, 443, 471, 486, 488; VIII, ao, 125, i44, 261, 262, 3ti, 3r2, 376, 380, 408, 4r3, 438, 452, 453, 5o5, 5o8, 532, 54o; ES, 6, 53, 56, 65, 67, 72, 106, i32, 133, i83, 302, 3io, 3ir, 432, 45i, 499, 521, 529, 533, 536, 537, 583, 5q3; X, 4, n, 12, ai, 2S, 29, 33, 53, 54, 55, 63, 66, 75, 92, 112, 142, 173, 201, 220, 221, 226, 264, 282, 28*7, 3i8, 329, 332, 337, 338, 342, 36o, 372, 373, 38i, 4i3, 429’ 443, 444, 445, 493, ?72; XI, xlvii, lxiii.

Mentions CONCERNANT Mlle DE Sévigné Sa mère rappelle qu’elle fut mise quelque temps au couvent, IV, 432 (voyez encore IV, i38 et 139). Sa vocation religieuse, VIII, 516. Elle n’était pomt, comme elle dit, un dragon, mais docile et accommodante; elle n’était ni délicate ni maigre, VI, 79, Estime et affection de Bussy pour elle, I, 492. Lettre qu’elle écrit à l’abbé le Tellier (plus tard archevêque de Reims), I, 495 et 496. Elle est nommée la belle Lionne par le duc de Saint-Aignan; il admire un portrait d’elle qui se trouve dans le cabinet de

Mlle de Scudéry, I, 497 et 498. Le Roi fait son «loge, I, 499. Elle a été sur le point d’épouser le comte d’Étauges, I, Soi et note 3; réflexions de Bussy à ce sujet, I, 505. Bussy l’appelle la plus jolie fille de France, I, S07, 5i2, 519, 5a~, 5a7, 533; ;VHÎ, 167 (voyez aussi la Notice, p. 324). Nouvelle de son mariage avec le comte de Grignan, I, 53o et 53i. Compliment de Bussy à cette occasion, I, 533. Ce que Mme de Sévigné dit plus tard de ce mariage, VII, 170. Le cardinal de Rate craint que Mme de Sévigné n’ait, en cette circonstance, négligé de s’éclairer suffisamment sur la fortune du comte de Grignan, I, 536 et 537. Sa mère, en la mariant, lui a donné le fonds de la terre de Bourbilly, IX, 17. Mme de Sévigné s’est dépouillée avec plaisir pour l’établir, elle et son frère, VIII, 54, 57. L’abbé de Coulanges a conservé et rétabli son bien, ainsi que celui de son frère, et a contribué à K leurs mariages, VIII, 88 et 89. Mme de Sévigné fait allusion à un voyage sur l’eau qu’elle a fait avec elle et le comte des Chapelles, IV, i35. Elle gardait dans son enfance les lettres que lui écrivait sa mère, II, 473. Mme de Sévigné a retrouvé une lettre d’elle, enfant, et plusieurs lettres écrites à elle, IV, i5o. On voit aux Rochers plusieurs devises gravées par elle sur des arbres, II, 35 1. Arbre des Rochers qui lui avait sauvé la vie, IV, 193 et ig4- Barbin lui fait hommage d’un recueil de lettres de

Comtesse de

Crigaan.

Mlle de Sévigné.