Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/232

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

%%6 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de

Grignan.

déplairont pas, VII, 132. Elle décrit admirablement l’état où l’on se trouve à la cour, à Versailles, VII, 414. Elle a tort de dire du mal de ses lettres, de son esprit, de déprécier son style, VI, 54a VII, 119; VIII, 5oa. Ses lettres sontpleines d’esprit, VIII, 5o3, 5og. Ses lettres sont, après elle-même, la plus agréable chose du monde, VII, 461. Elle a dépeint comme Virgile l’horreur d’une tempête, VIII, 4&g. Elle a fait une peinture belle et poétique des orages de Provence, IX, 294. Son horrible histoire d’un pendu, VIII, 5io, 5i5. Elle a appelé le prince d’Orange le a? Âiguehonne de l’Europe, IX, 1. Ses plaisanteries sur les pluies de Pro- vence, IX, 3x; sur le grand nombre d’enfants de Mme de Rochebonne, IX, 54 et 55. Joli couplet qu’elle a fait ou envoyé, IX, 61. Elle a dit des merveilles en parlant de la confiance de la jeunesse, IX, 6g. Ses lettres d’Avignon, les détails où elle entre, réjouissent extrêmement sa mère, IX, 84, 92-94. Elle a écrit des lettres charmantes à Mmes de la Fayette et de Lavardin, LX, 180. Elle ne sent pas le tour et l’agrément de ses lettres, IX, 2i3. Elle a écrit une lettre pleine de gaieté, de vivacité, de currente calamo, qui a ravi sa mère, IX, 235 et 236; le portrait de Mme de Montbrun surtout est charmant, IX, 23y et a38, 333. Le conte qu’elle a fait de certains fers qu on met à la coiffure a beaucoup amusé sa mèreetson frère, IX, a4o,242>

Elle devrait, avant d’envoyer ses lettres, les faire lire au chevalier de Grignan; Charles de Sévigné, sa femme et M. de Guébriac en sentent la beauté, IX, 332 et 333. Tout y est plein de sel; la gaieté en est admirable au milieu de tant d’affaires et de soucis, IX, 35 1, 43g. Son récit de la mort de Lausier a toute la force de la rhétorique, et a saisi sa mère et son frère, IX, 378 et 379. Autre récit qui a étonné et touché sa mère, IX, 4*8- Des vers (d’elle?) qu’elle a envoyés sont fort jolis, IX, 429 et 43o. Compliment sur ce qu’elle a dit de la mort du marquis d’Alluye IX, 438. Comparaison qu’elle a faite des mystiques et des faux-monnayeurs, IX, 439- Sa mère lit et relit ses lettres, IX, 440. Elle a raconté de la façon la plus charmante les folies de Pauline pendant le carnaval et les petites scènes qu’elle a jouées, IX, 45 et 4Ï2, 453. Son billet à l’abbé Charrier, pour lequel le sujet manquait un peu, est un chef-d’œuvre, IX, 469- Sa relation, en forme de roman, de ce qui se passe à Grignan; sa mère en demande la suite, IX, 469, 474 et 475. Compliment sur ce qu’elle a dit de la rapidité du temps, et sur une prière qu’elle a arrangée, IX, 55o et 55r. Elle a envoyé à Coulanges quatre vers qu’elle a faits impromptu sur Mme de Bury, dans la joie du gain de son procès, X, 20. -Coulanges lui dit que ses lettres sont admirables, et que c’est un meurtre de n’en pouvoir faire aucune part au public; mais