Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/237

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. a3i

on soupire après elle à Bâville sa mère lui parle du rendezvous qu’elles s’y sont donné, VU, 409, 410. Mme de Sévigné va venir la rejoindre à Bâville, VII, 45^ 460^ Sa mère la retrouve à Bâville, VII, 462, 466, 476 et 477. Elle continue de garder, comme elle le faisait dans son enfance, les lettres que sa mère lui écrit, II, 107, 4l3 IX, 429» 438. Tourment que cause à Mme de Sévigné l’absence ou le retard de ses lettres, II, 244 et 245, 245 et 246, 247 et 248, a54; VI, 129 et i3o, 5i8, 519521. Son attendrissement en lisant les lettres de sa mère, III, 482. Leur correspondance est la première affaire de la vie de sa mère; joie des amis de Mme de Sévigné quand elle a reçu des lettres de Provence leur tristesse quand elle n’en reçoit point, III, 489 et 4go. Son goût pour les lettres de sa mère, VI, 4g» 457Sa mère s’afflige des lenteurs de leur correspondance, VI, ag5. Comment cette correspondance occupe sa mère toute la semaine, VI, 456. Elle fait trop d’éloge des lettres de sa mère, VI, 542 VII, 3, 293. Sa mère se plaint de n’avoir pas de ses nouvelles, VII, 287. Son exactitude à écrire à sa mère, VII, 346; VII, 221 et 222. Sa mère ne peut se passer de ses lettres, VII, 32S, 358 et 35g; IX, 35. Sa mère relit ses lettres avec une extrême tendresse, IX, 45g. Inquiétudes que lui a données la santé de sa mère; celle-ci la rassure, III, 5o8 et 5og. Ses inquiétudes en apprenant la maladie de sa

voir pas venir auprès d’elle, VI, 3o8. Mme de Sévigné voudrait être avec elle à Grignan, VI, 482; VII, 32.– La Providence a fait un quiproquo en y plaçant sa fille dans un poste si brillant, et en l’envoyant elle-même dans la solitude aux Rochers, VI, 45a- Sa mère voudrait bien jouir avec elle de la vie de Grignan et de la compagnie qui s’y trouve, IX, i38; ses pensées sont souvent à Grignan, IX, 3^8. Sa mère ira à Paris si elle y vient, sinon elle compte aller passer l’hiver de 1690 avec elle en Provence, IX, 494 et 49S. Sa mère ne veut pas aller à Paris sans elle; elle ne veut pas non plus aller à Grignan, dans la crainte de lui être une entrave, IX, 568 et 56g; Mme de la Fayette engage Mme de Sévigné à aller en Provence, IX, 578. Elle vient recevoir sa mère au port de Robinet, et lui fait un accueil dont celle-ci est très-reconnaissante, IX, 58i et 582, 583. Elle exprime à Coulanges la joie que lui cause la présence de sa mère, et parle des témoignages de tendresse qu’elles se donnent, IX, 6o5. Elle est fort heureuse de la prochaine arrivée de sa mère auprès d’elle, X, 148. Son désir de voir sa mère à Grignan, X, 15o. Mme de Sévigné se félicite du bon accueil qu’elle a reçu de sa fille (i6g4), et du bonheur dont elle jouit auprès d’elle, X, 169 et 170, iyr. Sa mère accepte pour l’automne suivant un rendezvous avec elle chez Lamoignon, à Bâville, VII, 377. Elle jouit bien de Livry

Comtesse de

Grignan.