TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE
y5 275. __I1 vient dire adieu à Mme de Sévigné, VI, 38 1. aime de Sévigné le voit lorsqu’elle passe à Angers, VII, a83, 285. Sa mort, X, 43<>
et ~,3,
AbÏaId" (Charles-Henri), sieur de Lusancy, fils d’Arnauld d’Andilty, solitaire de PortRoyal. Mme de Sévigné le trouve à Pompone ce qu’elle dit de son esprit, de son mérite, V, ai8 et 319.– Mme de Sévigné lui demande de lui indiquer un précepteur pour son petit-fils, V, 222. Il est à Pompone; sa société sera utile à M. de Pompone, V 1,
ii5. J
Arnauld de Pompone. Voyez PoMPONE..
Arkauld (Angélique de SaintJean), abbesse de Port-Royal, fille d’Arnauld d’Andilly, accepte en religieuse et en chrétienne la disgrâce d’Arnauld de Pompone, son frère; lettre remarquable qu’elle écrit à ce sujet; son savoir immense; estime toute particulière de son père pour clle, VI, 104 et io5.
Arsauld (Mane-Angelique de Sainte -Thérèse), fille d’Arnauld d’Andilly, signe le formulaire, I, 437- Elle y est amenée par l’archevêque de Paris jugements différents que portent de sa soumission les sœurs de Sainte-Marie et son père, I, 444 et 445-
Arnauld (Henri), évêque d’Angers, frère d’Arnauld d’Andilly, II, 4o2 et 4o3; III, S28; IV, 161, 191; VII, 37Malheurs dont il est accablé il fait sa visite pastorale, et Mme de Sévigné ne peut le voir, VI, 393. Accueil
qu’il fait à Mme de Sévigné; son grand âge ses vertus; vivacité de son esprit, VII, 283-285. Sa confiance en Dieu, VII, 4i3.. Il supporte d’une manière miraculeuse des fatigues extrêmes, Vil, 419. Tout son diocèse craint de le perdre il ne songe qu’à pardonner à ses ennemis, VII, 420. Il est encore plein de vie; sa vue seule laisse à désirer, VIII, 54o. Il fait à quatre-vingt-douze ans sa visite pastorale et montre le même bon esprit qu’autrefois, IX, 286. Sa longue vie, IX, 292. le grand Ar-
Arnauld (Antoine), le grand Arnauld, frère d’Arnauld d’Andilly, VII, 284; ix, 45q; x, 299 et 3oo. Son 11% re de la Fréquente communion; Mme de Sévigné le prête aux filles de Sainte-Marie de Nantes, VI, 4i3, 4a5, 459- -Il «’est retiré sous terre, VI, 427. Mme de Sévigné voudrait qu’il il eût répondu à un livre de controverse du ministre Claude, VII, 85. Il n’aurait pas parlé sur la communion autrement que vient de le faire Bourdaloue, VII, 222. Le P. Maimbourg le compare à Arius, LX, 325. Éloge que fait Mme de Sévigné du livre de la Perpétuité de la Foi, qu’elle croit être de lui, IX, 43O. Mme de Sévigné envoie à sa fille quatre vers qu’on a mis au bas du portrait d’Arnauld, IX, 528 et
529.
A.BBAULD (Catherine-Agnès de Saint-Paul), abbesse de PortRoyal, sœur du précédent, Ir ^37. Sa grande piété, I,
444-
