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234 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de

Grignan.

Son frère,

sa belle-sœur.

le soleil, VIH, 446, 516. A propos de Martillac, qui languit dans la crainte d’avoir perdu son amitié, sa mère lui dit qu’elle a connu cet état, et qu’il est cruel, IX, 5o6.

SON preue, SA belle-soeur Affection de son frère pour elle, V, 137, 140, 34fi VI, 60, a44 VII, 110. Mme de Sévigné s’attachera à conserver entre ses deux enfants l’amitié’ fraternelle, VI, 54. Son frèreparle beaucoup d’elle; leur mère voudrait qu’elle l’engageât à venir à Grignan, III, 141 et 142. Il lui parle de l’affection désintéressée qu’elle lui a témoignée, et l’assure de son amitié, IV, 361 et 262. II lui dit qu’elle a, pour lui écrire, trempé sa plume dans du feu, du fiel et du vinaigre, IV, 3i3. II la rassure sur l’état de leur mère, IV, 343-345. Il la gronde d’avoir empêché celle-ci de prendre de la poudre de M. de l’Orme, IV, 355. Il l’appelle la divinité de Provence, V, j.3y. Il la compare au soleil, V, lag, i5o. Elle s’occupe de marier son frère, IV, 45o, 49°". Mme de Sévigné voudrait qu’elle tâchât de le marier avec la fille de l’intendant Rouillé, et lui envoie ses instructions, V, 226. Son frère lui parle aussi de ce projet de mariage, V, 231. Plaisir qu’elle aurait de réussir, V, 258. Elle propose pour lui une femme de santé robuste, V, 273. Son frère lui fait des compliments ironiques sur la manière dont elle remplit tous ses devoirs, V, 140. II parle beaucoup

n’a retrouvé la santé et le repos que depuis leur séparation, V, 258. Elle dit que sa présence était de bien des manières nuisible à sa mère; i celle-ci lui répond qu’elle Voit bien qu’elle était du complot de ceux qui voulaient les séparer, V, 269, 27o, 272 et 273. Allusion à ces derniers chagrins, V, 325, 345. Lettres de plaintes que lui écrit sa mère; elle lui reconnaît beaucoup de qualités admirables, est persuadée de son affection, mais se plaint de l’injustice qu’elle a montrée à son égard, V, 5i4-5i6; elleesttrèsmalheureuse de voir qu’elle lui refuse sa confiance, V, 51752 1 Allusions à leurs mésintelligences pendant le séjourde Mme de Grignan à Paris, aux injustices dont sa mère a eu à souffrir de sa part; conseil qu’elle lui donne pour l’avenir de s’ouvrir davantage, VI, 5 et 6, 9, 11, i5, 20, 26 et 27, 32 et 33, 56 et 57, 83 et 84. Elle a injustement soupçonné Corbinelli de vouloir changer le cœur de sa mère, VI, 33, 56 et 57. Elle dit que sa mère était du grand nombre de ceux qui souhaitaient son départ; celle-ci s’en défend, VI, 3g5, 3g6 et 397. Sa mère, après s’être étendue sur sa tendresse pour elle, regrette que cette tendresse soit impuissante à retenir, à soulager, à soutenir, VI, 416-418; elle espère que, lors de leur prochaine réunion, rien nepourraplus jeter d’ombre sur leur société; elle veut ne plus avoir d’attentions importunes, VI, 53o. Son cœur est parfait; ses humeurs n’étaient qu’un brouillard sur