Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/249

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. a43

l’envie qu’elle a de lui plaire, IX, 48. Mme de Sévigné est bien aise de l’adoucir pour cette enfant, avec qui elle ne réussira que par la raison, IX, 74 et 7$, La douceur a réussi; elle aimera cette petite personne, et s’en fera une agréable compagnie, IX, 191 et 192. Elle en fera ce qu’elle voudra et Pauline est bien heureuse, IX, 297. Sa mère la félicite de ce que Pauline est comme elle la souhaitait et digne de toute son amitié elle est elle-même bien digne d’avoir une si parfaitement aimable fille, IX, a35, aSg. Elle lui apprend l’italien, IX, 287. Elle n’aime pas certaines lectures de romans, qui plaisent à Pauline, et que ne désapprouve point Mme de Sévigné, IX, 3i5. Elle forme l’esprit de Pauline, et est encore sa maîtresse à danser Pauline ne l’adore-t-elle pas? IX, 33g et 34o. Son devoir est de s’occuper de cette enfant, qui a un si grand désir de lui plaire et tant d’esprit, IX, 353, 408. Sa conversation lui vaudrait mieux que toutes les lectures, IX, 4r3. Pauline retient et s’approprie tout ce qu’elle lui entend dire, IX, 479. Pauline a tort de faire jouer sa nière aux échecs, IX, 487, 494. –Nouvelle recommandation de la mener doucement, IX, £07. Mme de Sévigné lui conseille toujours de l’aimer, et l’engage à l’emmener à Paris quand elle y viendra, IX, 540 son frère lui conseille aussi de la mener avec elle, IX, 54a. Sa langueur retardera le

mariage de Pauline, qui en tout cas se célébrera sans noce, X, 3i5, 333. Elle n’a puse faire porter à la chapelle le jour du mariage, X, 334. Bon esprit dont elle a fait preuve en faisant ce mariage, X, 343. Quand même Mme de Simiane (Pauline) aurait tort à l’égard de sa mère, celleci chercherait à la justifier, et l’aimera toujours, X, 47t. Elle aime Mme de Simiane, bien que celle-ci ne lui écrive pas, X, 567. Elle désire être instruite de tout ce qui regarde sa fille, et se montre très-toucliée de ses sentiments pour elle; elle désire avoir avec elle un commerce aimable et tendre, et aimerait à l’avoir auprès d’elle; mais elle se pique d’une affection désintéressée, et elle connaît la richesse des privations, X, 56j et .568. Elle a évité de lui dire adieu, X, 57t. Tendresse que Mme de Simiane a conservée pour elle, XI, 127. Voyez SiairAKE (Mme de).

ONCLES ET frères DE SON maiît Oo< Relations avec le vieil arche- d, vêque d’Arles, voyez ci-dessus, p. 192-194. Relations avec l’évêque d’Uzès, voyez ci-dessus, p. 194. Chagrin qu’elle ressent de la mort du chevalier Charles-Philippe de Grignan, II, 496, 497’ 498, Sio, 5i5, 5i8et5ig. Elle est "heureuse d’avoir ses beaux-frères pour résidents a la cour, VI, 1 i3i. Ils sont fort opposés à l’affaire de Toulon l’abbé de Grignan a négligé celle du courrier, VI, i5i. Sa mère lui rend compte de ce qu’elle et l’abbé de Grignan ont fait

Comtesse de

Grignan.

lcltî-s et frères

le son mari.