Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/251

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. î»45

lui donnerait; bons sentiments < de Mme de Coligny pour elle, V, 486 et 487. Bussy dit l’avoir reconnue aux traits délicats de sa lettre, V, 487’ Bussy, faisant allusion à son goût pour la philosophie de Descartes, trouve qu’elle sent un peu le fagot il n’aurait jamais cru que, si elle avait à être damnée, ce put être pour la religion mais en quelque lieu qu’elle doive aller dans l’autre vie, il est disposé à l’y accompagner; Mme de Coligny aimerait fort aussi à lui tenir compagnie, mais elle voudrait bien que ce fût en paradis, V, 497- Choses aimables qu’elle répond à ces souhaits; elle n’abjurera point la philosophie de Descartes, V, 500 et Soi. Nouvelles plaisanteries et nouveaux compliments de Bussy sur les mêmes sujets, V, 5o3 et 5o4. Le froid lui fait beaucoup de mal, mais ne l’empêche pas d’aimer Bussy et sa fille, V, 5o7, 5ii. Bussy souhaiterait sa société, V, 527. • Nouvelles assurances de l’affection de Bussy et de Mme de Coligny pour elle, V, 545; Vin, 26, 69, i55, 161 X, 81. Ils la plaignent d’être obligée de se séparer de sa mère, V, 556. Bussy s’informe d’elle, et parle d’elle, VII, 19 et 20, 5g et 60, 135, t45. Il a inséré quelques-unes de ses lettres dans ses mémoires, qui seront mon très au Roi, VII, i3a. Il serait bien fâché qu’elle ne fût plus à Paris quand il y viendra, VII, 140. II lui envoie sa Généalogie des Rabutins, et la remercie des marques d’amitié qu’elle a données

V, 156 et i57. Elle demande à Bussy de la venir voir à Paris, III, 432. II trouve qu’elle et sa mère écrivent mieux que femme de France; compliments qu’il lui adresse sur la sagesse de sa conduite, III, 43S, 437 et 438. Elle complimente Bussy sur le mariage de sa fille, III, 449> -Elle est appelée la belle Madelonne (ou Maguelonne) dans les lettres de et à Bussy, III, 517; IV, i3, 43, 96, 172, 189, 287, 3oa, 3r5, 405, 440; V, 73, i56, 157, 160, 162, 248, 35g, 36g, 38i, 387, 388, 389, 3go, 4o3, 406, 411, 43o, 448, 482, 48;, 497, 5or, 5o4, 507, Sir, 822, 827, S34, 537, 542, 545; VI, 68; VII, 170, 468, 5og VIII, ro; IX, 5g4 X, 27, 166, et passim. Bussy lui écrit; ilcomprend combien son éloignement doit affliger sa mère, XV, ’iiS et 316. Il lui rappelle qu’elle doit lui écrire quand il sera grandpère, IV, 817. II se plaint qu’elle lui ait écrit d’une encre trop blanche, III, 41g, 428 réponse qu’elle lui fait, III, 431 et 432. Elle plaisante en lui racontant qu’elle est accouchée trop tôt, IV, 383 et 384. Bussy dit qu’elle a eu trop d’enfants; il pense que le plaisir de voir sa mère lui fera grand bien, V, 38g et 3go. Il croit que sa mauvaise santé vient de sa tête, qui travaille trop, V,4o3, 4o4II dit que l’absence de son mari lui sera salutaire, V, 416, 43o. La princesse Comnène n’en savait pas plusqu’elle, lui dit Bussy, mais s’il était à la place du Roi, ce ne serait pas les fonctions d’historienne qu’il

Comtesse de Grignan.