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a5a TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de

Grignan.

Mme de Grignan et Vardes, IX, 83. Sa mère la gronde d’avoir appelé Corbinelli, le mystique du diable, IX, 4!4j son frère approuve ce nom, IX, 418, 439, 443. Si Corbinelli est pendu, elle sera, dit sa mère, au pied de la potence, IX, 439- Amitié de du Coudray pour elle X i43. Elle a charmé du Coudray sans que son absence coûte un soupir à celui-ci, X, 546. M. Courtin lui témoigne de l’amitié, et ne craindra pas de prendre ses intérêts, IX, 336. Dangeau parle beaucoup d’elle, il songeait à mener à Grignan la princesse de Modène, III, 276. Mlle Descartes l’adore et lui a écrit; elle ne l’a point assez vue à Paris, IX, 54. Mlle Descartes lui écrit; il y a entre elle et celle-ci une sorte de parenté, IX, S7 et 58. Elle ne sera pas embarrassée de répondre à Mlle Descartes, bien que sa mire ne lui envoie pas la lettre de celle-ci, IX, 69.– Elle lui a répondu son frère et sa mère admirent sa lettre, IX, 76 et 77. Mlle Descartes est dans une profonde admiration de son esprit, et ne trouve en Bretagne que Guébriac digne de lire sa lettre admiration de celui-ci pour elle, IX, 92 on répète que Mlle Descartes est discrète, et ne montrera sa lettre qu’à Guébriac, IX, log. Celui-ci admire sa lettre; il l’a admirée autrefois elle-meme à Paris, IX, 233 et s34- Mme d’Escars l’adore, IV, 449. Mme de la Fayette a de l’amitié pour elle, III, 74, 263, 277; VI, 187, 204; et voudrait fui être

bonne à quelque chose, VI, 142. Son peu de goût pour Mme de la Fayette, IV, 218; elle ne peut rien trouver à lui écrire, IV, 477 et 478. Billet qu’elle lui a adressé peu de temps avant la mort de la Rochefoucauld, VI, 307, 3n (voyez encore p. 3a8). Mme de la Fayette est touchée d’une lettre qu’elle lui a écrite à l’occasion de cette mort, VI, 354 et 355. Mme de la Fayette la recommande, elle et son fils, à Mme de Montespan, VII, 364. Mme de la Fayette parle d’elle dans toutes ses lettres, IX, 428. Mme de la Fayette dit qu’elle ferait fort bien, pour ses affaires, de venir à Paris, X, Go et 61. Mme de Fiennes l’honore de son approbation, IV, 5o4. Bien que Gacé a dit d’elle, II, 204. Elle se dispose à parler avec une grande sincérité sur le mariage de la Garde, IV, 538. Elle a appelé ce dernier mon petit cœur, V, 58. Il se propose de la ramener et de la loger à Paris, V, ao3. Froideur qui est entre eux, VII, 107, 126. Il l’honore et l’aime, et elle doit faire grand usage de son amitié, VIII, aao, 251. Sa mère l’engage à s’arrêter dans le château de la Garde, VIII, 211, a i3 elle y a été fort bien reçue, VIII, 234. Elle aurait dû mieux instruire sa mère de l’état de fortune de la Garde, de la diminution de ses pensions et revenus, qui l’empêchera de venir en aide aux Grignans, IX, 368-370, 3y6 et 377. Elle est bien heureuse de l’avoir auprès d’elle, IX, 42°i 442- Ses bons sen-