DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 255
36g, 3q7. On parie beaucoup d’elle a Pompone; eUe y est très-bien vue, III, 522; IV, 246 X, 546. Pompone a fait ériger une de ses terres en marquisat, IV, 408. Intérêt qu’il prend à elle, VI, 48 et 49. La disgrâce de Pompone prive sa mère d’un des moyens qu’elle avait de lui être utile, VI, 91. Mme de Grignan était loin de s’attendre à cette disgrâce, VI, 106. Sa lettre de condoléance à Pompone, VI, 147-149. Celui-ci parle fort tendrement d’elle, VI, x54, 1G7 et toute sa famille est pleine pour elle d’amitié et de reconnaissance, VI, 187, 288. Le malheur paraît lui rendre cette maison plus chère, VI, 2S1. Pompone l’aime et l’admire, VI 338; VIII, 291. Compliment qu’elle lui adresse sur la conduite de son fils, le che- valier de Pompone, à FIeurus, IX, 55S et 536. Larmes qu’elle a versées en lisant une relation de l’action héroïque de ce chevalier, IX, 56o; Elle écrit à Pompone après la mort de Mme de Sévigné, X, 899 et 400. Elle le félicite sur sa rentrée aux affaires étrangères et sur le prochain mariage de sa fille, X, 404 et et 4o5. Elle complimente Pontchartrain sur les nouveaux bienfaits qu’il a reçus du Roi (novembre 1690), XI, xxir et XXIII. Elle veut, lui dit-elle l’année suivante, continuer à lui faire sa cour par lettre, en attendant qu’elle puisse aller lui rendre ses respects, XI, xxvii. Elle doit présenter à Pontchartrain une lettre de son frère, XI, xxxi. Amitié de
la Rochefoucauld pour elle, ni, 73 et 74, 264; VI, i57, 204. Grand désir qu’il aurait d’être utile à elle et à son mari, VI, 2 3a. Billet qu’elle lui a écrit et qui est arrivé lorsqu’il était à l’extrémité ou déjà mort, VI, 3a8, 33l (voyez en-
core p. 807 et p. 3ir). II
parlait fort souvent d’elle, VI, 3a8, 33x. La mort de la Rochefoucauld ôte à Mme de Sévigné un moyen de lui être utile, VI, 318, 340. L’évêque d’Anton (Gabriel de Roquette) est entêté du mérite de Mme de Grignan, VIII, 203. L’intendant Rouillé l’honore il dit qu’elle est toujours belle, mais triste et abattue VI, 38o. Elle écrit à Mme de Saint-Géran, V, 34. La mère du Saint-Sacrement dit beaucoup de bien d’elle, VIII, 274 et 275. Son crédit auprès de Seignelai, IV, 241. La duchesse de Sully garde un bon souvenir d’elle, VI, igo. Elle a dû être sensible à la mort de la duchesse de Sully, qui l’aimait, X, 470. La a princesse de Tarente a du goût pour elle, IV, i55, igo, aQO, 3,3; VI, 379, 55, Vil 4, o5, 298; elle est ravie d’un passage qui la regarde dans une des lettres de Mme de Grignan, IV, 197. -La princesse lui écrit, IV, 36o Mme de Sévigné reproche à sa fille de tarder à dre IV, 876, 38a, 388. Elle fait difficulté de traiter la princesse $Àl~tesse, IV, 392. La princesse est désolée de ne l’avoir plus trouvée à Paris, V, i85. Sa mère lui recommande d’écrire à la princesse, à l’occasion du mariage de sa fille,
Comtesse de
Grignan.
