Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/278

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a7a TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

mère et à Mme de Sévigné pendant le siège de Philisbourg, VIII, 242 et 243. Mme de Sévigné n’est pas d’avis qu’il aille en Provence, VIII, 246. Son gouverneur du Plessis, VIII, 246, 292, 3o8, 315, 3i6, 31g, 357, 373, 5io;IX,98, 99; X, i?eti8. Bien qu’on dit de lui, VIII, 253, 270, 277 et 278, 283, 289, 350, 364, 38o et 38i. Compagnie de chevau-légers que sa mère lui a faite, VIII, a53 et 254, 3o4, 3o5, 3o6, 3io, 820, 329, 356, 873, 4T5) 433, 455, 484, 505; IX, 317, 339, 34o, 34i. Mme de Coulanges se réjouit de ses succès, VIII, 257 et 258. p Les lettres de Mme de Sévigné se ressentaient des inquiétudes qu’il lui causait, VIII, 289. Û recoit une contusion à la prise de Manheim le Dauphin le mande au Roi, VIII, a63265, 265 et 366, 275, 281, 286 et 287, 289 et 290, sot, 3o4, 307 et 308, 3ir, 320, 344, 350, 468; IX, 342. Il est en chemin pour revenir, VIII, 275, 279, 381, 284, 287, 289, 292, 3o3, 3o4» 3o5. Mme de Grignan remercie Lamoignon de l’intérêt qu’il lui a montré, VIII, 294 et 2g5. –Il est à Claye^VIIÏ, 3o3, 3o4- H arrive à Paris plus tôt qu’il ne l’avait annoncé tendresse que lui témoigne sa grand’mère, VIII, 307 et 3o8, 3og. II sera moins grand que son père, VIII, 3i5. Conseils que lui donnent Mme de Sévigné et son oncle le Chevalier, VIII, 3i5-3i7, 345, 348. Celui-ci doit le présenter à Versailles, VIII, 3ï7- II va à Versail-

lui cause la mort du roi d’Angleterre, en ajournant des fêtes de la cour où il devait prendre part; sa physionomie pi- quante, VII, 363 et 364. 4 filme de Sévigné approuve sa mère de le produire de bonne heure; le Roi l’a regardé avec bienveillance, VII, 373 et 374. Sa mère demande pour lui une survivance au Roi, VII, 454. Elle le trouve joli et veut qu’il soit bien habillé, VIII, 149 et i5o. Elle s’épouvante des bruits de guerre, à cause de lui, VIII, 174, 182. Elle fait dire des neuvaines pour lui il lui écrit une jolie lettre, VIII, 196. Mme de .1 Sévigné pense qu’il n’aura pas été à l’ouverture de la tranchée devant Philisbourg, VIII, 199. Elle cherche à calmer les inquiétudes de Mme de Grignan, VIII, 202 et 2o3. SaintPouanges et Beauvilliers prennent soin de lui, VIII, 202, 209 et 210, 3o5. On a de lui de bonnes nouvelles, VIII, 2o5 et 206, 207. -Il se conduit aussi bravement qu’un vieil officier; distinctions dont l’honore le Dauphin son onclele Chevalier lui écritcomme à un camarade, VIII, 209, 2i5. Avantages qu’il y a pour lui à faire ses premières armes sous les yeux du Dauphin et entouré des officiers du régiment de son oncle, VIII, 216-218, 237 et 238, 238 et 239, 305. La pluie l’empêche d’être à une action brillante et meurtrière; son .oncle le Chevalier en est ravi, tout en regrettant la réputa- tion qu’il auroit pu y aequérir. VIII, 222, 224. Inquiétudes qu’il a causées à sa