Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/293

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. a85

départ pour la guerre sa devise, III, 29- Sa paresse à écrire, III, 14?.. Comment il reçoit de l’argent que lui en- voie Mme de Grignan, III, 18G et 187. Il a la fièvre tierce, III, 460. Mme de Sévigné se propose de le bien soigner s’il vient à Paris. III, 463. Il ne veut pas croire à la retraite du cardinal de Retz, III, 468. Il est guéri, III, 4?3. Mme de Sévigné redoute l’effet que la mort de Turenne aura produit sur lui, IV, 4. On dit an Iloi beau- coup de bien de lui et de son régiment, IV, 23. 11 s’est distingué au- combat d’Alteuheim, IV, 3i, 34, 47, 56, 94, 110, 116, »36 et 237. La Garde engage les frères du Chevalier à se montrer généreux j pour lui, IV, too. -Son ado- ration pour Turenne, dont il était aimé et estimé, IV, 102. Son régiment doit venir en Bretagne; plaisir qu’aurait Mme de Sévigné à l’y recevoir lui-même, s’il y venait, IV, j a5g, Elle regrette bien de ne pas être à Paris pour l’y voir, IV, 271. Elle craint qu’il ne vienne pas en Bretagne comment elle comptait l’y recevoir, IV, 279. Elle lui recommande ses employés de Bodégat, IV, 306 et 307. Est-il vrai qu’il ait un l’hu- matisme? IV, 3S9 et 36ç> Il est très-fàcbé de n’avoir pas été fait brigadier il a bien mé- rité cette récompense, IV, 3-3 et 3_74,, 377,. 382. IL quitte j Paris sans voir Mme de Sévigné, pour lui éviter le chagrin des adieux; affection qu’elle a pour lui. IV, or et 402- Il obtient du Roi pour le

comte de Grignan les’ Lods -et ventes d’Entrecasteaux, IV, 447. Mme de Sévïgué se réjouit pour lui de l’avancement du maréchal de Lorges, IV, 47g. Il dit du bien du comte de Vaux, IV, SoS. Mme de Sévigné lui donne des nouvelles de sa santé, IV, 53 1 et 53a. Il raconte comment Charles de Sévigné s’est conduit à Aire, V, 23 et 24. Son empressement à venir, aussitôt après son arrivée à Paris, voir Mme de Sévigné à Livry, V, 127. Il lui écrit qu’elle va probablement obtenir le congé de son fils et la pension de son gendre, V, 148 et 149. Mme de Sévigné veiile à ce qu’il soit bien soigné à Vichy, V, 323, 334. Elle va l’y laisser en fort bon état; il doit venir la voir à Langlar, V, 327, 3ag, 330, 334. Il retournera bientôt à Grignan, V, 338. La mort de l’abbé Bayard va bien le surprendre; sollicitude de Mme de Sévigné pour lui; il lui est plus facile qu’à elle d’aller à Grignan, V, 344- -Il lie doit pas y aller, V, 364. Colère de Mme de Sévigné contre lui, parce qu’il a dit qu’elle se soignait mal à Vichy; son mal au bras le fait-il toujours boiter ? V, 370. Elle l’embrasse deux fois pour se raccommoder avec lui, V, 372 et 373. Elle le trouve plaisant de vouloir empêcher la bise de souffler, V; 878 et 379. Il paraît être de l’avis de Mme de Sévigné, qui se plaint à lui de l’injustice de safille à son égard, V, 5i5, Il visite Mlle de Méri malade, VI, 71. Il est retenu au lit