DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. a97
petit-fils), qu’elle doit mener à Saint-Germain, VI, igi.
Gcémené (Charles de Rohan, prince de), fils de la précédente, duc de Montbazon en 1699. Son mariage avec Mlle de Vauvineux, trois mois après la mort de Marie-Anne de Luynes, sa première femme; colèredela famille de celle-ci, VI, 119-121, 128. Avant d’épouser Mlle de Luynes, il aimait Mlle de Vauvineux, et ne l’avait jamais oubliée, VI, 120. Sa singulière fantaisie, VI, 167.
Guémehé (Charlotte-Élisabeth de Cochefilet de Vauvineux, prin- cesse de), femme du précédent, II, 106, 138; VI, 93, i3a. On l’emporte tout endormie, pour la sauver de l’incendie de la maison de Guitaut, II, 73 et 74. Son mariage avec le prince de Guémené, VI, iig-121, 128 et 129. -Elle recevra ses visites pendant quatre jours à l’hôtel de Guémené, VI, 132. Le Coadjuteur se liera sans doute avec elle, VI, 166. -Est-elle contente ? Fantaisie de son mari, VI, 167. Sa belle-mère (ou peut-être la grand’mère de son mari) ne se hâte pas de la conduire à Saint-Germain, VI, igi.
Gotémeke (le petit de), probablement François-Armand de Rohan, prince de Montbazon, fils des précédents. Il n’est plus question de son mariage avec Mlle de Clérembault, X, 350.
Guémeké (l’hôtel de), à la place Royale, VI, i32.
Guenani, nom donné à une fille que Mme de Marans avait eue du duc d’Engliien, qui fut plus tard légitimée et appelée Julie
de Bourbon demoiselle de Châteaubriant, et qui épousa le marquis de Lassay, IV, 484 (voyez aussi II, 1491 note 4)Elle est renvoyée au couvent de Maubuisson son caractère, IV, Soi,
GUÉNÉGAUD (du Plessis), Voyez PLESSIS GtlÉHÉCAÙD (du).
Gtiékégaud (de), probablement Claude, frère puîné du mari de Mme du Plessis Guénégaud et mari de la suivante, V, 261. (Voyez aux Additions et corrections.)
Guéhégaot (Mme de), Claude Alphonsine Martel, femme de Claude de Guénégaud et bellesœur de Mme du Plessis Guénégaud (voyez aux Additions et corrections une rectification à la note 3 de la page 439 du tome I), II, Sa, 66, 5o6 V, 210, 229. Affliction que lui cause la mort deTurenne; elle rend visite au cardinal de Bouillon, IV, 2 et 3. Ce qu’elle a dit un jour à Mme de Grignan, à Moulins, IV, 45o. Elle assiste avec Mme de Sévigné à un sermon de Bourdaloue, VI, 33a. Elle emmène Mme de Sévigné à l’oraison funèbre de Mme de Longueville, VI, 354. Le duc de Chaulnes s’est toujours montré fort bon ami pour elle, IX, 264. Elle perd deux de ses fils; il ne lui en reste plus que deux, IX, 3o4 et 3o5. Elle va à Saint-Martin, chez le cardinal de Bouillon, X, 285. Voyez Biviixe (le marquis de).
Goékécacd (le chevalier de), fils cadet de la précédente. Sa mort à Bonn, IX, 3o5.
Goékégaud (Claude-François, dit l’abbé de), frère du précédent,
