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3ia TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

guières et lui n’ont pu empêcher la procession de la châsse de sainte Geneviève, X, 159 et 160. Dîner qu’il donne le jour du mariage de sa nièce, Mlle de Bréval, X,;a5i. Sa mort subite suppositions sur le choix de son successeur on se demande qui fera son oraison funèbre; Mme de Lesdiguières, qui l’a vu mourir, est médiocrement affligée, X, 304 et 3o5. On a dit bien du mal de lui après sa mort, puis [. on l’a complètement oublié, X, 3o6 et 307. Le P. Gaillard doit prononcer son oraison funèbre, X, 312. Elle n’est pas encore imprimée, X, 336. II a rendu un arrêt désagréable pour l’archevêque d’Arles, qui pourtant le croyait de ses amis; on l’accuse d’avoir pris le parti de Belzébut contre l’Église pour faire plaisir au Roi, X, 549 et 550.

IIablay DE BosBEun. (de). Voyez BoKKEtni. (de Harlay âe).

Hablay (du), probablement jardinier à Livry, VII, 406.

Harlequin. Voyez -érlequin. Harouys (Guillaume de ou d’), seigneur de la Silleraye, trésorier des états de Bretagne, veuf d’une sœur d’Emmanuel de Coulanges, II, 116, 2o8 et 209, 243, 3og, 317, 326, 328, 33i, 343, 379; III, 10, 85; IV, 6, 76, 140, 148, i63, ’an, 280, 307; VI, 60, 4TIi 424; VII, 232, 233, 5ig; IX, 2a3 et note 10, 268; X, 3i4, 4i8; XI, xxxi.– Il donne un dîner, II, 337. Son désintéressement il est adoré en Bretagne, II, 356. Souhait qu’il forme pour Mme de Grignan, II, 401. Satisfaction qu’il éprouve de la savoir heu-

reusement accouchée chagrin que lui cause l’arrestation de Lauzun, II, 43o. Son arrivée à Paris, II, 472. II s’en va en Bretagne, III, 89’ Bonté de son cœur, III, 92. Attaque que dirige contre lui le marquis de Coetquen, le fils, III, 3o6. • Les troubles qui agitent la Bretagne l’empêchent d’y aller, III, 523. TI doit s’y rendre avec Mme de Sévigné quand les troubles seront apaisés, III, 53 1 IV, 86, 104. Pitié que lui inspire la douleur de Mme de Vaubrun, qui a perdu son mari, IV, 17. Hospitalité qu’il donne à Mme de Sévigné à Nantes, IV, i38, 17I. Il la reçoit à la Silleraye; histoire de la construction de sa maison, IV, T$,6. Son esprit supérieur; sa belle âme, comparée à celle de Turenne, IV, 147-. Allusion aux difficultés qu’il rencontrera en Bretagne, IV, 208. Il donne à Mme de Sévigné des nouvelles de ce qui se passe aux états, IV, 238. Difficulté de sa position, IV, 242- Il s’en tirera, grâce à l’affection qu’on a pour lui aux états, IV, 271. On le sauve des dangers qu’on redoutait pour lui; IV, 2g3. Mme de Sévigné dîne chez lui, V, 186. Uattend Charles de Sévigné à Nantes, VI, iî3. Après l’avoir bien attendu, il est obligé de partir sans lui pour Paris, VI, 141, 146. Il donne l’hospitalité à Mme de Sévigné à Nantes, VI, 3g5. Celle-ci va aller chez lui à la Silleraye, VI, 409. Allusion à un prêt qu’il a fait à Mme de Sévigné pour le mariage de son