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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 345

544 et 545. L’évêque de Rennes va le voir au Maine, VII, 40 et 41. Mme de Sévigné le rencontre à Dol, VII, 433. Il n’est pas près de partir pour son ambassade à Rome, à cause d’une ancienne bulle que le pape remet en vigueur, VIII, 54 et 55. Il va revenir de Rome, la paix avec le pape n’étant pas près de se conclure, VIII, 427. Il est parti de Rome pour revenir en France, IX, 58. Son retour réjouit Mme de Sévigné, parce qu’il sera avantageux au comte de Grignan, IX, 67. Il est arrivé à Paris, et craint d’être obligé de s’en retourner à Rome, à cause de la maladie du pape, IX, 128, t3o. Il ne retourne pas à Rome il ne voudrait pas tenir les états sous le maréchal d’Estrées; sa position est embarrassante, IX, 166, 16g. Il doit, dit-on, tenir les états de Bretagne de 1689, IX, 172, yg, 186. -Ses bonnes dispositions pour Charles de Sévigné, IX, 179, 186, 189. Il était ravi de tenir les états on les lui ôte il se résigne, comme un bon courtisan, a la volonté du Roi, IX, 189 et igo. C’eût été une belle chose pour lui de tenir les états; mais on ne pouvait pas les ôter au maréchal d’Estrées, IX, 214. Son désir de servir Charles de Sévigné, IX, a5o. Pourquoi il désirait que Charles de Sévigné eût la députation, IX, 3a 1 Sa femme est persuadée qu’il ne retournera pas à Rome, IX, 35g. Il est fort affligé de la maladie de sa mère; il a raison de regretter une mère à laquelle il doit tout, X, 16.

Il donne une de ses filles au marquis de la Châtre; il ne voulait cas qu’elle entrât dans une famille endettée, il l’aurait refusée au marquis de Grignan, X, i45. Il doit être parrain de son petit-fils, avec Mme de la Châtre, X, 3a3. Plaisanterie sur l’importance qu’il a donnée aux armées visionnaires de Bretagne; chansons qui courent à ce sujet, X, 3^3 et 874. Il ne tient pas à lui que les états de Bretagne refusent la gratification proposée pour Charles de Sévigné, XI, XI.VTT et JU.VIII,

LàVAHDi» (Louise-Anne de Noailles, marquise de), fille d’Anne premier duc de Nouilles, et seconde femme du précédent. Son mariage, VI, 43g, 447. Présents de sa belle-mère, la marquise de Lavardin, VI, 45o. Sa belle--mère est toute troublée d’une visite qu’elle va lui faire elles ne s’accommoderont jamais ensemble, VI, 490. Elle fait le voyage de Flandre dans le carrosse de la Reine, VI, 544Elle accompagne sa bellesœur an Maine, V’II, 16. L’évêque de Rennes va chez elle au Maine, VII, 41. Elle a failli mourir de la rougeole, avec deux de ses enfants, IX, i54. Elle envoie à la Monnaie sa vaisselle d’argent, IX, 3%.

Lavaedik (Anne-Charlotte de), marquise de la Châtre, fille de Henri-Charles marquis de Lavardin, et de sa première femme, Françoise-Paule d’Albert, II, 224. Son mariage avec le marquis de la Châtre pourquoi son père ne l’aurait pas donnée au chevalier de Gri-