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DES LETTRES DE MADAME DE SEVIGNÉ. 365

Louis XIV.

paix à l’Europe il épuisait ses ennemis par ses conquêtes, et ses sujets par les louanges qu’elles leur inspiraient, V, 453 et 454. Le roi de Suède le prie de faire la paix, V, 468, 469 et 470. 11 devrait interdire les dépenses qu’on fait pour camper dans la plaine d’Ouilles, V, 556. S’il se met en route pour commencer la guerre, le roi d’Espagne renoncera à ses prétentions, VI, 5i2. Il va partir pour la Flandre, VI, 5 16. II foudroierait encore volontiers les Hollandais, mais il n’est pas probable qu’il rompe la paix, VI, 553. Il part pour la Bourgogne et l’Alsace, VII, a3g. II reviendra triomphant, comme à son ordinaire, VII, 263. Le doge de Gênes va venir le trouver; rien ne peut résister à sa volonté, VII, 354. II ira à Maintenon, et ensuite à Luxembourg temps qu’il emploiera à ce voyage; personnes qui J’accompagneront, VIII, 36. -Il est attendu dans six jours; il a vu les merveilleuses for- tificatioiis de Luxembourg, VIII, 54. Bourdaloue parle très-habilement de la guerre que le prince de Condé lui a faite, VIII, 48 et 49. II va à Fontainebleau; ses desseins sont encore cachés, VIII, t85. Il compte sur le succès du siége de Philisbourg, puisqu’il y envoie le Dauphin; il rompt avec l’Empereur pour avoir l’honneur de l’agression, VIII, 193. II n’attaquerait pas Pliilisbourg si le prince d 0- rangepouvaitencoresejoindre à nos autres ennemis, VIII, 194, II fait lire publique- i

ment les lettres du Dauphin pendant le siège de Philisbourg, VIII, 218. Vauban lui demande un gouverneur pour Philisbourg, VIII, 233. II apprend la prise de Phiisbourg pendant un sermon; il se jette à genoux pour re–mercier Dieu; il loue et admire le P. Gaillard, qui a .tiré un fort bon parti de cette nouvelle pour la fin de son discours, VIII, 23g et 240. II a trois cent mille hommes sur’ pied, VHI, 4go. II surmontera ses ennemis, et dissipera les nuages qui menacent de fondre sur nous, VIII, 564. Conditions de son traité avec les Suisses, IX, 20. Il ordonne au maréchal d’Estrées de revenir à Brest, où sa présence est nécessaire, IX, 127. Son chagrin de la prise de Bonn et de la mort du baron d’Asféld, IX, 285 et 286. IL ira en Flandre, IX, 480 et 481. La mort du prince d’Orange serait une chose heureuse pour lui, IX, 5o5. Le comte de Grignan ne lui écrira-t-i[ pas à propos de la victoire de Fleurus? IX, 543. Gloire que lui donne cette victoire; Dieu semble toujours prendre son parti, IX, 544- Mme de Sévigné prend part à sa gloire, IX, 54». Ses longues prospérités; on devrait, dit Bussy, l’appeler le Fortuné, IX, 5o2, Sa bravoure devant Mons sa réponse à. un prisonnier de l’armée du prince d’Orange la cour de Rome ne sera pas fâchée de bien vivre avec lui, X, i3 et 14. Il est victorieux partout, et il confond les grands politiques assemblés à la Haye au-