Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/375

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIG-NÉ. 369

Louis XIV.

Mme de Sévigké. XII · 34

sent des paroles les plus agréables, III, 188 et 189. Il ne veut revenir à Paris qu’au mois d’octobre (1673), III, 196. Sa visite à la duchesse drYork, III, 262, 264. Ce qu’il dit des Provençaux, III, 367. Son amabilité pour la Rochefoucauld, III, a83, Il écrit au maréchal de Gramont à l’occasion de la mort du comte de Guiche, III, 3oa. Ce qu’il exige des dames du pa- 1 lais, III, 348, 358. II dansera aux bals de la cour, III, 358. Il veut que l’évêque de Marseille et le comte de Grignan se réconcilient, III, 36s, 383; XI, LixetLX. -Il nomme Vivonne gouverneur de Champagne, III, 365. Il rassure le chancelier d’Aligre, qui craint de perdre les sceaux, III, 366. -Il recevra peut-être le marquis de Cessac, III, 367. Zèle du comte de Grignàn pour son service, III, 33a et 333, 372. Supplique, répandue par un inconnu à SaintGermain, où la noblesse le prie de réformer l’immodestie de son clergé, à la chapelle royale, avant l’entrée du Roi, III, 380. II dîne tristement, III, 386. Il paraît chagrin; ses bals sont loin d’être gais, III, 38o, 396, 401. –Il danse avec Mme de Crussol, III, 3g6. Souhait que lui fait le marquis de Beringhen, III, 406. II fait ses dévotions à la Pentecôte, III, 473. Son mécontentement de la conduite inexplicable de SaintVaUier envers lui; avantages qu’il faisait à celui-ci à l’occasion de son mariage, III, 475 et 476. Son heureuse étoile, III, Soi; IV, i5i, iy6,

407. II écrit à la duchesse L de Richelieu des lettres tendres et obligeantes, III, 5o8, Il trouve la grande-duchesse de Toscane aimable; ses bonnes dispositionspourelle, III, 52g. Ce qu’il dit de Gadagne, VI, 4. Son entretien avec le comte du Lude, IV, 4. Comment Duras le remercie de l’avoir fait maréchal de France, IV, 5o. Visite que la Feuillade vient lui faire de l’armée à Versailles, IV, 56. –II décide qu’on donnera le titre de Monseigneur aux maréchaux de France, IV, 64, 94 et 95. Éloge qu’il fait de la harangue que le coadjuteur d’Arles lui a adressée au nom de l’assemblée du clergé (i675),IV, 65. Leçon qu’il donne aux courtisans trop courtisans,.IV, 68, 94- II félicite Beringhen au sujet de son fils, IV, 69’ Sa hauteur, IV, 81. Il ne veut pas accepter la démission de Pertuis, IV, io3. Son mécontentement contre le chevalier de Coislin, IV, 114. -On joue chez lui des sommes énormes à l’hoca, jeu défendu à Paris, IV, 168. Sa rudesse envers le prince de Marsitlac, qui veut raisonner sur les vapeurs, IV, 182, 300 et aoi. Présents qu’il fait à Madame de Fôntevrault, IV, 244. Il défend à la maréchale d’Aumont d’épouser le comte deMarsan, IV, 247. Voyage qu’il doit faire en Champagne ou en Picardie, IV, 264. Son amabilité pour l’évêque de Saint-Malo, IV, 265 et 266. Mme de la Fayette vient le remercier d’une abbaye qu’il a donnée à son fils, ÏV, 282. Ce qu’il dit en apprenant